Une nouvelle dimension RH, valorisante et éthique : RSE & 5D

RSE & 5D s’allient pour construire notre Nouveau Monde, plus éthique

Définition du terme « 5D » en Ressources Humaines

La physique newtonienne nous a enseigné que la matière et la vie en général, humain compris, s’organisent en 3 dimensions, permettant de délimiter surfaces et volume. Masse et volume s’assemblent pour faire exercer la gravité, loi de l’attraction.

Puis la découverte de la physique quantique (1957) nous a également appris que 2 dimensions s’ajoutaient depuis toujours aux règles de Newton : la notion de temps, et l’aspect vibratoire (assemblage des particules permettant de composer la matière).

Lorsqu’il s’agit de « vivant », cet aspect vibratoire ne fait pas que relier les particules entre elles, mais engendre également un rayonnement autour du végétal (effet kirlian), de l’animal ou de l’Humain (Tore électromagnétique du corps humain). Nous « rayonnons » donc tous sur le vivant qui nous entoure, et cela nous permet de mieux comprendre le terme de « bonnes ou mauvaises ondes », ou encore d’une « ambiance électrique ou harmonieuse ».

Ces phénomènes ont été le centre des différents programmes de recherche de Alorem, basés sur les Neurosciences comportementales et la Physique Quantique de l’Humain (plus de 39 000 bilans biophysiques réalisés sur 16 années d’épidémiologie, et sur plus de 10 pays), appliqués à la prévention santé, aux mécanismes motivationnels intrinsèques, à l’épanouissement personnel et la cohésion d’équipe, et au développement de l’efficience naturelle des organisations.

L’Humain, comme tout vivant et toute matière, est soumis depuis toujours à ces règles de physique quantique. Sa particularité étant sa complexité et l’interaction systémique de ses principales composantes : corps, esprit, mais aussi motivations (énergie et attraction) et posture mentale (rayonnement). C’est pourquoi Alorem a inventé une nouvelle génération de psychométrie systémique, seule capable de décoder l’humain dans son Essence, pour le recruter en le respectant, le « manager » en le reconnaissant et le faire évoluer en le valorisant.

En pratique…

En 5D, le mot « travail » est abandonné (origine : tribaluim, outil de torture), pour laisser la place à la notion de « contribution » à une œuvre collective. Avoir une place utile et reconnue dans la société. Concept valable autant pour les statuts de salariés (qui tendra à disparaitre progressivement) que celui d’artisan ou d’indépendant, libres de leurs choix.

Bien entendu, pour que les entreprises s’y retrouvent, les termes du type « santé au travail », « bien-être au travail » et autres dérivés du tribaluim, sont conservés pour l’instant. Notre philosophie est par exemple de remplacer la « souffrance au travail » par le « plaisir d’être utile et reconnu ».

NB : la notion de « travail sur soi » reste tout de même d’actualité en cette période de transition, car pour beaucoup d’entre nous, notre réflexe est de nous replier dans notre zone de confort plutôt que d’avoi le courage de nous remettre en cause pour évoluer. Parfois ce « travail » nous demande beaucoup mais la récompense est tellement merveilleuse…

Pourquoi faut-il engager ce nouveau processus RH ?

Alorem a créé ainsi un nouveau dispositif RH, intégrant

  • Le Recrutement éthique, en n’offrant à un candidat que le poste qui convient à se personnalité et qui lui permettra de s’épanouir en étant naturellement performant
  • La Gestion des Talents et des mobilités, démarche RH plus épanouissante
  • La nouvelle méthode du « Coaching de précision », beaucoup plus efficace et respectueuse de la personnalité et de l’état de santé mentale de la personne, et visant la disparition des Risques psychosociaux (RPS) au profit de la performance naturelle
  • Un nouveau bilan d’Orientation Professionnel permettant à tous les Conseillers d’Orientation et de Reconversion Professionnelle de se professionnaliser et s’outiller en psycho-digital pour assurer des prestations bien plus fiables et bien plus durables
  • Une nouvelle philosophie de Ressources Humaines et de techniques de Management permettant de s’ouvrir réellement à la Diversité : Atypisme, handicaps

Quel impact sur les équipes et sur l’attractivité de l’Organisation ?

En Ressources Humaines, cela veut dire que lorsqu’une équipe collabore, chaque rayonnement électromagnétique interagit sur les autres (systémique), influençant l’ensemble du groupe, sa cohésion, son attractivité mutuelle et donc sa performance globale.

Le DRH qui comprend ce phénomène peut alors faire progresser en flèche les résultats de son entreprise car il peut progressivement faire évoluer chaque collaborateur vers un état de bien-être et de motivations intrinsèques rarement vus jusqu’ici !

Ce qu’il faut comprendre :

Depuis quelques années s’est développé le concept de la RSE, devenu une « Norme » en matière d’écologie et de respect de l’Humain et de la Nature, et intégrant la santé au travail. Mais si l’on demande à l’entreprise de faire des efforts, il serait également légitime de

  • Ne pas faire entrer dans l’entreprise une personne trop en souffrance, car elle rayonnera son mal-être sur tous les collaborateurs qu’elle va côtoyer
  • Demander à chaque collaborateur de mieux se connaître et de travailler sur lui afin d’améliorer à la fois ses compétences de savoir-être : aptitudes sociales, intelligence interpersonnelle, intelligence intrapersonnelle, maturité émotionnelle et posture mentale (pensées limitantes, projections, postures de bourreau ou de victime, perception systématiquement négative des événements et des personnes, jugements, peurs…) bref, ne plus consacrer son énergie à contre-courant du projet collectif mais au contraire, contribuer de manière constructive, progressiste et valorisante.

En effet si l’on demande aux entreprises de faire des efforts pour la reconnaissance et le bien-être des salariés, il est aussi normal que l’on attende du salarié qu’il travaille aussi sur lui pour s’améliorer, autant car il maîtrise une part importante dans son propre épanouissement professionnel que dans l’intérêt collectif, car les « bonnes » conditions de travail ne dépendent pas que du patron mais aussi de tous les membres de l’organisation.

Quels sont les avantages de la démarche 5D ?

Le fait que les collaborateurs sortent de la démarche d’égo pour laisser place à la notion d’œuvre collective apporte une évolution considérable pour l’ensemble des équipes et développe une très forte attractivité de l’entreprise.

Ce sont ces entreprises-là qui se démarqueront très fortement de leurs concurrents à partir de 2025.

Recruter, former et accompagner/coacher dans cette nouvelle démarche apporte les avantages suivants :

  1. Courage d’introspection et de travail sur soi (ouverture à l’évolution) : les personnes « 5D » sont celles qui ont déjà eu le courage de commencer un travail d’introspection accompagné, afin de développer une réelle Connaissance de Soi et d’améliorer leur maturité émotionnelle. Elles réduisent ainsi en elle les effets néfastes d’une dualité stérile, leur permettant supprimer quasiment toute situation de conflit, car les limitations matérielles et les jalousies ne prédominent quasiment plus. Ces personnes ont une plus grande ouverture d’esprit et une perspicacité bien plus développée, ce qui rend l’entreprise immédiatement plus naturellement productive. Lorsque l’égo domine, les valeurs de la personne se réduisent à posséder (argent…), à dominer ou se sentir supérieur à l’autre, plutôt que de consacrer son énergie à coconstruire, ou à assumer pleinement son rôle dans l’intérêt du collectif. Ici, au contraire, la démarche 5D développe l’humilité et développe une ambiance relationnelle très attractive.
  2. Rapport avec le temps (4e dimension) : l’espace-temps n’est plus réduit au passé (jugement de l’autre, colère et stress) ou à la projection dans le futur (peur de perdre, peur du changement, anxiété), mécanismes de l’assombrissement de notre égo. Au contraire, notre évolution de Conscience nous enseigne les bienfaits de vivre le « ici et maintenant », dans un état de « pleine conscience » de ce que l’on fait et du rôle que l’on tient au sein de l’Organisation. Le recherche de sens n’est plus une question car la personne trouve en elle le sens évident de sa Contribution consciente à l’œuvre collective.
  3. Posture mentale positive (5e dimension, en lien direct avec le taux vibratoire de la personne) : c’est la base pour vivre heureux et épanouis, en harmonie avec soi-même et avec son environnement. C’est l’état d’esprit de ceux qui réussissent, contrairement à ceux qui se plaignent systématiquement ou voient les choses en « perdants ». Cela demande un vrai travail personnel, réservé à ceux qui ont une maturité émotionnelle et un niveau de conscience déjà élevés. Ce travail personnel passe par la réduction de nos « blessures émotionnelles », une meilleure connaissance de soi et une réponse à la recherche de sens dans la vie quotidienne. Cela nous incite également à consolider parfois notre Estime de Soi et d’avoir une réelle congruence entre nos Valeurs et nos actes. L’accès à une posture mentale positive nous permet d’élever notre « taux vibratoire » et de rayonner de manière vertueuse sur notre environnement.
  4. Intelligence Emotionnelle et Qualité de la Collaboration : les « Valeurs Collaboratives » sont les fondements d’un travail d’équipe fluide et sans créer de tensions rie qu’à cause de la forme. L’ouverture du Cœur entraine l’abandon de la notion de contrôle total de l’autre et des événements pour laisser place à une contribution fluide et agréable. C’est aussi la notion de l’amour inconditionnel : donner sans attendre en retour, en ayant confiance en l’autre et dans sa capacité de rendre.
  5. Intelligence collective : développer son acceptation de l’autre, ainsi que sa mentalité de service aux autres et au collectif, permet de cocréer et de faire évoluer l’organisation et ses processus dans l’intérêt de tous. Ce sont les entreprises qui vivent dans une ambiance de concurrence interne qui perdent leur productivité, alors laissons cela à nos concurrents, car leur réflexe sera d’adopter de plus en plus une logique de survie et donc de sombrer dans l’égo (peurs, colères…)
  6. Niveau de conscience & créativité : plus les « contributeurs » élèvent leur niveau de conscience autour du déroulement de leur mission et plus les problèmes se résolvent naturellement. Le processus d’évolution de conscience permet également de développer des savoir-être précieux comme la perspicacité. Ils permettent de faire évoluer leur créativité vers l’innovation, démarche progressiste plus utile pour la collectivité.
  7. Ethique : le fait de s’impliquer dans les 6 points précédents pose forcément la question de l’éthique. Cette Valeur est fondamentale car elle est le fondement du respect (de soi, de l’autre et de la Terre) et donc la base de la Reconnaissance dans le monde de l’entreprise. L’esprit 5D intègre donc une place importante à l’éthique, car elle devient une Valeur prioritaire. Elle boucle aussi ce lien avec la recherche de Sens, en apportant une réponse au sein de l’Œuvre commune.

Les entreprises qui adoptent la culture 5D voient leurs attractivité et leurs résultats financiers augmenter, et leurs risques psychosociaux disparaitre, pour laisser la place à la cohésion de groupe et au bien-être au travail !

Comment accompagner son entreprise vers la 5D ?

Il est tout d’abord indispensable que ce soit le dirigeant et son comité de direction qui s’engagent eux-mêmes en premier dans cette démarche d’évolution personnelle et donc « d’introspection objective » (approche rationnelle et objective, en fonction du poste occupé).

La démarche d’amélioration de Soi doit être équitable pour être efficace pour l’organisattion, c’est à dire qu’elle doit se réaliser à tous les niveaux hiérarchiques.

En effet, cet exercice de questionnement personnel doit être accompagné d’une évaluation systémique (assessment) pour donner à la personne des points de repère clairs et objectifs à son évaluation et lui permettre de découvrir les vrais sujets à travailler.

C’est en effet avant tout au dirigeant de « donner le sens », en s’appuyant sur les Valeurs Sociétales et Humaines qui motivent sa « raison sociale ».

C’est donc à lui de communiquer cet état d’esprit à chacun de ses Directeurs/Managers, qui à leur tour ont à éveiller chacun de leurs Managers, car ce sont ces derniers qui auront ensuite à faire s’élever leurs propres équipes vers cette nouvelle dimension Humaine de reconnaissance mutuelle et de respect (donc d’éthique). Bien entendu, ce nouvel engagement n’est pas compatible avec l’esprit « washing » tant pratiqué par beaucoup de dirigeant à ce jour, mais demande au contraire à chaque dirigeant d’avoir le courage de remettre aussi en cause son propre comportement pour l’améliorer.

Cette mission, très valorisante, doit être non pas « confiée » au DRH (comme on transmet une « patate chaude ») mais elle doit être « pilotée » par le DRH, car chacun doit s’impliquer personnellement au quotidien dans cette nouvelle démarche de progrès.

Le travail sur Soi
ne se délègue pas !

C’est-à-dire que chaque Directeur puis Manager, après s’être personnellement remis en cause, aura déjà commencé à évoluer sur ces 7 sujets.

DeSI-S7 Altération de la personnalité et leviers de bien-être

Enfin, les moyens qui aident concrètement l’entreprise dans cette démarche sont :

  1. L’adoption d’un référentiel de savoir-être (soft skills) et la description des savoir-être dans les fiches de postes, donc faire évoluer sa GPEC en Gestion des Talents
  2. Lors des recrutements, l’utilisation de psychométries systémiques : tests professionnels de personnalité (et non-plus ces vieux tests superficiels devenus obsolètes), et ceci à tous les niveaux de postes
  3. Lors des mobilités et promotions internes, l’utilisation d’outils de Gestion des Talents et l’identification des axes de développement
  4. L’intégration d’un processus de Gestion des Talents dans la culture RH de l’entreprise, tant en soutien des Entretiens professionnels et en détection des risques psychosociaux (RPS), que dans une démarche d’identification des besoins de formation et de valorisation des carrières.
  5. Organiser les formations de savoir-être pour l’ensemble des salariés, adaptés au réel besoin de chacun, avec en priorité le traitement des sujets de 1-Karpman, 2-projections, 3-pensées limitantes, 4-drivers, 5-susceptibilités, 6-leviers décisionnels, 7-formes et développement de leadership, et 8-technique du « Management Motivationnel », seul levier de productivité durable des organisations.
  6. L’utilisation d’accompagnements individuels utilisant la nouvelle méthode de « Coaching de précision » pour d’une part choisir le coach adapté et compétent en fonction de l’exercice et d’assurer un résultat beaucoup plus rapide et mesurable.
  7. L’accès à des ateliers de bien-être au travail, d’éducation à la méditation et la Conscience de Soi, et à la gestion du stress et de l’anxiété, ceci pour tous les salariés.

 

C’est à nous de construire ce monde de demain…

 

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